DANIEL DAVID PALMER FONDATEUR DE LA CHIROPRATIQUE
1845-
D.D. Palmer est né au Canada en 1845. C’était un homme érudit et passionné par la science.
Pendant de nombreuses années il étudia le corps humain pour y déceler la cause des maladies. Il cherchait à comprendre pourquoi des personnes vivant dans le même environnement, exerçant les mêmes activités, n’étaient pas dans le même état de santé.
D.D. pensait qu’il devait y avoir une raison pour que seulement certains organes deviennent malades. Grâce à ses recherches et à la guérison d’une personne atteinte de surdité en 1895, il associa la raison des maux à un dysfonctionnement de la colonne vertébrale.
Il stipula qu’une baisse « d’influx mental » dans les organes entraînerait une baisse de fonction et de vitalité dans le corps.
La découverte de D.D. Palmer l’amena à être le pionnier d’une nouvelle forme de soins, la chiropratique, basée sur les connaissances anatomiques et neurologiques de l’époque et dotée d’une forte philosophie vitaliste.
PREMIER AJUSTEMENT CHIROPRATIQUE
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Harvey Lillard fut le premier patient chiropratique.
Monsieur Lillard, Afro-
Cela durait depuis 17 années lorsqu’il demanda à D.D. de l’examiner, lequel découvrit une « bosse » dans son dos, indiquant qu’une vertèbre était mal positionnée.
Alors D.D. administra un mouvement rapide, appelé « thrust », à cette vertèbre pour tenter de la repositionner. Presque instantanément Mr Lillard recouvra l’ouïe qu’il avait perdu 17 ans auparavant.
BARLETT JOSHUA PALMER : DEVELOPPEUR DE LA CHIROPRATIQUE
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Dans le monde de la chiropratique, il est connu sous le nom de « B.J. ».
B.J. fut le seul et unique enfant de D.D., doté, comme ce dernier, d’une forte personnalité.
B.J. étudia la chiropratique sous l’égide de son père en 1902.
Deux années plus tard, il prenait la direction de la clinique et de l’école fondées par D.D. Palmer.
B.J. donna à la chiropratique ses lettres de noblesse. Il ouvrit notamment un centre de recherches au sein de la clinique et y développa certaines techniques de radiographie innovantes, encore utilisées de nos jours tant dans le monde chiropratique que dans le monde médical.
En association avec des ingénieurs, il développa plusieurs instruments destinés à démontrer objectivement, de façon quantifiable, la validité et l’efficacité de la chiropratique sur la circulation des influx nerveux. Ces appareils sont les ancêtres de la thermographie diagnostique et de l’électro-
B.J. PALMER, PROMOTEUR DE LA THERMOGRAPHIE DIAGNOSTIQUE
En association avec l’ingénieur D. Evins, B.J. Palmer développa le Neurocalorimètre, un instrument capable de mesurer les différences de température de chaque côté de la colonne vertébrale, indiquant donc les différences de circulation sanguine dans les vaisseaux superficiels, et représentant l’activité neurologique dans cette partie du corps.
Grâce à cet instrument il développa ensuite un système d’analyse et de soins chiropratiques qui s’applique uniquement sur les deux premières vertèbres cervicales.
Convaincu du bien fondé de sa nouvelle technique, dont les résultats montraient tant l’efficacité que la reproductibilité, B.J. tenta d’imposer ce système à l’ensemble de la profession chiropratique.
Son imposante personnalité lui avait entraîné des déboires avec certains qui profitèrent du débat sur le Neurocalorimètre et la technique Upper Cervicals (Cervicales Hautes) pour séparer la profession en deux camps : ceux qui suivaient B.J., et ceux qui s’opposaient à lui.
Aujourd’hui d’autres instruments ont été développés, utilisant des capteurs de rayonnement Infra-
LA CLINIQUE CHIROPRATIQUE B.J. PALMER
Cette clinique ouvrit ses portes dès 1935. Elle était équipée des dernières technologies en matière d’imagerie et de diagnostique. Sa construction coûta plus d’un million de dollars.
Pendant son existence, une grande quantité de recherches y furent effectuées.
Dans cette clinique, dotée d’ambulances et de lits, les pathologies étaient diagnostiquées par des médecins, puis les patients étaient analysés et traités selon les méthodes chiropratiques.
Les résultats obtenus sur chaque cas étaient soigneusement enregistrés et répertoriés.
Le seul traitement prodigué y était l’ajustement chiropratique. Aucun médicament n’y était utilisé. Les patients, qui venaient des Etats-
Les pathologies traitées étaient très diverses et loin de se limiter aux douleurs du dos.
La clinique fut fermée en 1962, après le décès de B.J.
Jamais aucune clinique ne l’a égalée depuis.
texte tiré du site du centre chiropratique Combe
Quelques dates…
…pour la chiropraxie en France
- 2005